Qui est assez fou pour croire que le riche monde occidental a décidé de se débarrasser de la menace que constitue, à ses yeux, le développement des pays émergents à l’aide d’un virus inoculé à des espèces entières d’insectes piqueurs ? Ceux à qui les récentes pandémies bovines et aviaires ont mis la puce – l’abeille – à l’oreille et que commencerait de gagner une salutaire paranoïa, peut-être… A coup sûr, le trio d’universitaires anglais « bien informés » et pleins d’humour que nous allons suivre d’Oxford à Edimbourg, de la Dordogne à Washington, de Bukingham Palace aux pays des neiges où quelques moines bouddhistes leur prêteront main et esprit forts pour déjouer cette monstrueuse conspiration.