Kwai

Vincent Hein


Genre :

    Vous souvenez-vous du film de David Lean, Le Pont de la Rivière Kwaï, adapté d’un roman de Pierre Boulle ? Pour Vincent Hein, c’est une partie de son enfance — les soirées cinéma calé contre son père, près de la cheminée et devant la TV.

     

    Alors, partir en Thaïlande sur les rives de la célèbre rivière, c’est plonger dans les eaux troubles de la mémoire.

     

    Là-bas, le spectacle touristique ne cache pas l’exubérance de la nature et le souvenir des cruautés.

      « Peintre subtil attaché aux détails, Vincent Hein évoque ce passé en n’oubliant rien. Aux images abominables qui l’obsèdent, il mêle des évocations délicates de l’odeur de la pluie et des couleurs de la Thaïlande, à 140 km de Bangkok, où l'ombre des morts s’est évanouie. »


      Sébastien Lapaque. Le Figaro littéraire.


       


      « Un roman touffu, ramifié, riche, grave ; nostalgique aussi d’un monde, celui de l’enfance, qui meurt en même temps que ceux qui nous l’ont offert : un grand-père, un père… »


      Jean-Claude Perrier. Livres Hebdo.


       


      « Un voyage extérieur qui se transforme en voyage intérieur. C’est magnifiquement écrit. »


      Arnaud Viviant, Le Masque et la Plume, France Inter.


       


      « Le style de l'auteur peut évoquer la manière de Modiano dans sa description méticuleuse des lieux de souvenir en Thaïlande. […] Vincent Hein est bien l'un de ces écrivains voyageurs dont il dresse, d'ailleurs, une liste instructive. »


      Pierre Cochez. La Croix.


       


      « Il y a de belles évocations du paysage, de la chaleur et de la jungle, un projet superbe de « géographie de la pluie » […] le plus remarquable est ailleurs. II s’agit en fait d’une sorte de mini-anthologie de l’horreur de la condition de prisonnier, telle qu’un gamin né dans les années 1970 peut se la figurer à travers une mémoire transmise par des aïeux. »


      Jean-Noël Orengo. Transfuge.


       


      « Son don pour la poésie, son intelligence très fine, l’empêchent de sombrer dans la niaiserie habituelle des récits de famille et des souvenirs d’exotisme : c’est un ravissement de chaque instant. »


      Nicolas Ungemuth. Le Figaro Magazine.


       


      « [Vincent Hein] enclenche un film intérieur, avec une grâce fluide, des fondus enchaînés et de longs plans fixes et vibrants. »


      Philippe Garnier. Philosophie magazine.


       


      « Kwaï est un livre merveilleux sur les horreurs de la guerre. Avec délicatesse et bonté, humour et poésie, Vincent Hein nous y fait passer d’Asie en Europe, dans quelques-uns des hauts lieux de la cruauté au XXe siècle – et, entre deux cercles de l’enfer, il nous donne refuge dans des coins tendres de sa mémoire. »


      Le livre de chevet de Laurence Cossé. La Croix.

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    Édition papier

    Date de parution :

    05/04/2018

    Prix :

    15 €

    ISBN :

    978-2-7529-1139-1

    Format :

    14 x 20.5 cm, 144p.

    Édition numérique

    Date de parution :

    05/04/2018

    Prix :

    9,99 €

    ISBN :

    978-2-7529-1140-7

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