Publié en 1925, soit après Le Serpent à plumes et avant L’Amant de Lady Chatterley, il date de la grande période créatrice de Lawrence, et les Anglo-saxons le considèrent depuis toujours comme le chef-d’œuvre de l’écrivain dans le domaine des short novels… Ce qui rend d’autant plus étrange sa remarquable absence, pendant longtemps, des librairies de langue française (alors qu’il a été plusieurs fois traduit). Ajoutons que de tous les romans de Lawrence, L’Amant… et L’Étalon (titre original : St Mawr) sont sans doute ceux où l’écrivain a le mieux concentré son génie inquiet.