Ces lettres ne sont pas le fruit d'un artifice littéraire. Elles ont vraiment été adressées par l'auteur à des amants (et quelques amantes) qui n'ont rien d'imaginaire : moments du savoir-jouir qu'éternise une écriture jaculatoire qui s'autorise toutes les libertés. Rarement une femme a parlé de ses plaisirs avec cette audace et cette ferveur - lesquelles n'excluent pas l'art... seul théâtre où nos débordements trouvent un exutoire à leur démesure.