« Un geste littéraire un peu fou qui impose sa charge explosive dans un espace public qualifié de gnangnanland. »
Victorine de Oliveira. Philosophie magazine.
« Sensible aux marginaux, aux anormaux, aux situations extrêmes, et marqué par trois influences décisives – Nietzsche, Schopenhauer et Freud – ce grand voyageur mélancolique signe aujourd’hui un texte flamboyant sur New York, ville aimée où il a passé son adolescence et où il est retourné en 2012, juste avant d’être opéré d’une tumeur cérébrale. Dès les premières pages, il entraîne le lecteur dans le vertige d’une écriture somptueuse et parfaitement ciselée, à la manière d’un tableau de Jérôme Bosch (…) Un périple de haine et d’amour, sans Dieu ni maître. »
Elisabeth Roudinesco. Le Monde des livres.
« Un texte qui provoquera du tapage Mais n’est-ce pas le scandale qui pousse un livre, en fait le sujet de toutes les conversations ? Et n’est-ce pas à leur stupéfiante audace que l’on reconnaît les grands écrivains ? »
Anne-Marie Mitchell. La Marseillaise.
« Puritains, prudes, pudibonds, bégueules et collets montés s’abstenir. […] Dans cette diatribe amoureuse pour et contre les États-Unis, à la fois carnet de voyage et pamphlet hérétique, Patrick Declerck s’en prend au fanatisme autant qu’à la bien-pensance paradoxale qui rend obscène l’expression de nos répulsions. Avec ce détachement feint qui lui avait déjà permis de faire l'état des lieux de la misère parisienne, combiné à cette idée que reprenait aussi l'introduction (bouleversante) des Naufragés « Nos haines, autant que nos amours, sont ce que nous sommes. » »
Camille Decisier. Le Matricule des anges.
« Connu pour sa passion des marges et des laissés-pour-compte, le romancier Patrick Declerck s’attaque ici avec une jouissance non dissimulée au grand vertige de la religion et à ses illusions destructrices. »
Emmanuel Poncet. Le nouveau magazine littéraire.