Après le sinistre et réjouissant Tunnel (Phébus, 1996), fort goûté par la critique, Frédéric Klein imagine un personnage qui escalade la grande échelle sociale en donnant libre cours à ses perversions. La facilité de sa réussite induira quelques mauvais esprits à se poser la question : et si la société, pour finir, était mieux pervertie encore que les pervers « médiatisés » qu’il est de bon ton de vouer à tous les lynchages ?