« Dans ce roman aussi ample que douloureux, récit de formation et de déformation, Drago Jancar mène son affaire avec une sensualité troublante, un peu torve. Les égarements de son Ciril sont universels. Ce sont ceux de la jeunesse lorsqu’elle vient à s’éteindre. »
Olivier Mony. Livres Hebdo.
« Comme dans son inoubliable Cette nuit, je l'ai vue, le romancier Slovène nous décrit la Mitteleuropa éternelle, espace mythique où langues et religions se croisent, continent perdu que chaque personnage porte en lui. »
Les Inrockuptibles.
« Une savoureuse fable, acerbe et plus politique qu'elle n'en a l'air, aux personnages secondaires croustillants. »
Baptiste Liger. Lire.
« Un récit sur le mode léger et attachant pour un message beaucoup plus sérieux. Un constat ironique et grinçant des effets du libéralisme sauvage sur une société en proie à la mondialisation qui, privée de repères, ne sait plus à quelles valeurs se vouer. »
Alexis Liebaert. Le Magazine Littéraire.
« À travers son personnage de violoniste naïf, le Slovène Drago Jančar brosse un portrait piquant de son pays. Tout en ironie. »
Marianne Payot. L’Express.
« Le Slovène Drago Jančar, (Prix du meilleur livre étranger 2014) avec Six mois dans la vie de Ciril, rappelle que le roman est le plus impitoyable miroir des âmes. »
Damien Aubel. Transfuge.
« Portrait d’un anti-héros, Six mois dans la vie de Ciril est un texte envoûtant et sincère sur une génération désenchantée en perte de repères et de conscience. »
Linda Pommereul, Librairie Doucet (Le Mans). Page des Libraires.